Paraphrase
Paraphrase d’après Shakespeare
Elle dit qu’elle veut être baisée et désirée,
mais les mamelles flasques des seins
ne peuvent pas exciter mon membre viril,
pas plus que les cheveux de la tête de la fille malpropre.
Elle vomit du rictus plein de fiel
des injures obscènes plus amères que la bile,
elle porte une robe sale comme une porcherie,
elle pue de toutes parts le fumier et la moisissure d’un cellier.
Depuis longtemps déjà je ne joue ni ne me sers du pénis,
je ne suis pas un homme pour la cochonne, ni quelqu’un qui lui fasse pomper la bite,
les patriciens et le bas peuple rient :
jamais Paris le baiseur ne la ravirait,
même si l’amant impétueux était encore vivant,
et même un porcher ne la conduira point au troupeau.
Elle dit qu’elle veut être baisée et désirée,
mais les mamelles flasques des seins
ne peuvent pas exciter mon membre viril,
pas plus que les cheveux de la tête de la fille malpropre.
Elle vomit du rictus plein de fiel
des injures obscènes plus amères que la bile,
elle porte une robe sale comme une porcherie,
elle pue de toutes parts le fumier et la moisissure d’un cellier.
Depuis longtemps déjà je ne joue ni ne me sers du pénis,
je ne suis pas un homme pour la cochonne, ni quelqu’un qui lui fasse pomper la bite,
les patriciens et le bas peuple rient :
jamais Paris le baiseur ne la ravirait,
même si l’amant impétueux était encore vivant,
et même un porcher ne la conduira point au troupeau.
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